Page:Tīfāšī - Le Livre de volupté, 1878.djvu/44

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dit-elle par façon de minauder. Elle se plaint tout en se soulevant tant qu’elle peut, car il ne lui faut pas rester inactive. Sur elle s’agitent les hanches de l’homme par un continuel mouvement de va-et-vient. Au moment où il va jouir, il s’éloigne et s’essuie ; mais bientôt il s’introduit de nouveau. Ainsi la femme s’empare du cœur de l’homme en lui faisant goûter le plus doux plaisir. On nomme cette manière l’Intervalle.

Sixième. — Encore une fois la belle s’étend sur le dos, les hanches soulevées ; elle replie ses jambes sur elle-même, de manière à présenter l’aspect d’une poule prête à mettre en broche. Si l’homme est alors doué de vigueur et de force, il sort sa verge et l’introduit dans le vagin ; la femme commence aussitôt à s’agiter et tous deux goûtent la jouissance. On appelle ce procédé le Rapetissé.

Septième. — La belle s’étend sur le dos, puis l’homme se met à genoux ; alors elle pose ses jambes sur ses épaules de façon à ce que ses pieds pendent sur son dos. Puis, il frotte son gland entre les grandes lèvres ; lorsque la verge est en érection, il l’introduit sans tarder, mais, quand il est sur le point de jouir, il la retire et l’essuie, puis il la remet de nouveau jusqu’à ce qu’enfin l’éjaculation se produise. On nomme cela l’Échauffante.

Huitième. — La belle se place sur le dos, les jambes étendues. L’homme vient se mettre entre elles et il introduit sa verge dans le vagin ; la jeune amante, pleine