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Page:Tīfāšī - Le Livre de volupté, 1878.djvu/48

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tout de son long. Alors il embrasse d’une de ses jambes la hanche de la femme, puis il l’étreint en passant un de ses bras sous elle et l’autre par-dessus. De cette façon, il peut lui caresser les seins, et dans cette posture, il accomplit son œuvre. C’est la Terrestre.

Huitième. — Elle se place sur le côté droit et lui sur le côté gauche ; il se met alors entre les deux jambes, devant elle, puis il soulève la jambe gauche de sa belle, la replie, la pose sur son bras comme un bouclier, s’introduit où il faut et goûte le plaisir. C’est la Facile.

Neuvième. — L’homme se met sur la gauche et la belle sur la gauche, devant lui et lui tournant le dos. Après avoir mouillé sa verge de salive, il la fait pénétrer et il jouit. C’est l’Accoutumée.

Dixième. — La femme est sur sa gauche et l’homme sur sa droite ; il l’embrasse d’une jambe par-dessous, elle l’embrasse d’une jambe par-dessus ; ainsi ils se sentent jouir avec grand plaisir. C’est le Harpon.


IV

Sur la figure.


Première. — La femme se couche à plat ventre les jambes étendues ; l’homme s’étend sur son dos et, dès que l’érection s’est produite, il s’introduit où il lui plaît. C’est le Plaisir du patient.