ent y a.
Pourvoyez-vous ailleurs.
Quelle étrange saillie !
Je l'envoierais au diable avecque sa folie. [650]
Adieu, ne craignez point que je suive vos pas.
Ne me voyez jamais, je n'en pleurerai pas.
Scène V
De pareils estafiers le quart d'une douzaine
À désenfler ma bourse aurait bien peu de peine.
Où Diable celui-ci s'est-il venu fourrer ? [655]
Se prier de ma noce afin de s'y bourrer ?
Il s'est bien adressé pour rencontrer sa dupe ;
Mais comme il se fait tard, un autre soin m'occupe.
De quoi souperons-nous ? Ma Maîtresse, allons voir
Si l'hôte a quelque chose à nous donner ce soir, [660]
Nous choisissons ensemble un morceau de régale.
Venez.
Ah !
Ce n'est rien, ce n'est qu'un peu de gale.
Je tâche à lui jouer pourtant d'un mauvais tour,
Je me frotte d'onguent cinq ou six fois par jour,
Il ne m'en coûte rien, moi-même j'en sais faire, [665]
Mais elle est à l'épreuve, et comme hérédita