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Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 3, 1748.djvu/169

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Sostrate.

Quel espoir où je vois abîme sur abîme,
Où les Dieux irrités, où la Reine… Ah, Sosime !

sosime.

Seigneur, si la pitié que j’ai de votre sort…

Sostrate.

Allons, et s’il se peut, qu’on me mène à la mort.
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