Ma peine y finira ; et tout ce qui m’en peut faire
Dans ce détachement qui m’est si nécessaire,
C’est que pour mes plaisirs je me suis fait prêter
Des sommes que je suis hors d’état d’acquitter.
Faute de rendre, il est des Gens qui me maudissent,
Qui font…
Que là-dessus vos scrupules finissent.
Je paierai tout, mon Fils, et prétends de mon bien
Vous donner…
Ah ! Pour moi je ne demande rien.
Pourvu que par mes pleurs mes fautes réparées…
Ô consolations ! Douceurs inespérées !
Tous mes vœux sont enfin heureusement remplis ;
Grâce aux bontés du Ciel, j’ai retrouvé mon Fils,
Il se rend à la voix qui vers lui le rappelle.
Je cours à votre Mère en porter la nouvelle.
Adieu, prenez courage, et si vous persistez,
N’attendez plus que joie et que prospérités.
Scène II
Monsieur.
Qu’est-ce ?
Ah !
Comment ? Tu pleures ?