Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 5, 1748.djvu/431

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La Comtesse.

Adieu.Le prendrez-vous, Marquis, il vous regarde.

Le Marquis.

Que ne ferois-je point ?

Le Chevalier.

Que ne ferois-je point ?La retraite est gaillarde.

Olympe.

C’est un extravagant dont nous sommes défaits.

La Comtesse.

Allons.

Le Marquis.

Allons.Puisse l’Amour ne nous quitter jamais.


FIN.