Page:Tagore - La Jeune Lune.djvu/56

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Quand la journée est finie les ombres se blottissent sous les arbres, j’arriverai alors avec le crépuscule.

Jamais je ne te quitterai pour aller à la ville travailler comme mon père.

Maman, si tu le veux bien, j’aimerais être le passeur du bac quand je serai grand.