Page:Tagore - Le Jardinier d’amour, 1920.djvu/71

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et que, m’ayant trouvée, ton long désir fut apaisé par mes douces paroles, par mes yeux, par mes lèvres et mes cheveux flottants ?

Est-il donc vrai que le mystère de l’Infini est écrit sur ce petit front ?

Dis-le-moi, mon bien-aimé, tout cela est-il vrai ?