Page:Tagore - Le Jardinier d’amour, 1920.djvu/73

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torrent du bonheur, ne souris pas à mon périlleux abandon.

Quand assise sur mon trône, je te gouverne avec la tyrannie de mon amour ; quand, telle une déesse je t’accorde mes faveurs, supporte mon orgueil, bien-aimé, et pardonne-moi ma joie.