Page:Tagore - L’Offrande lyrique.djvu/152

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pauvres pour nous permettre d’être en retard.

Et c’est ainsi que le temps passe, tandis que je l’abandonne à tous les plaignants qui le revendiquent ; cependant ton autel reste vide d’offrandes et dégarni.

À la fin du jour je me hâte dans la crainte que les vantaux ne soient fermés ; puis je trouve que pourtant il est temps encore.


LXXXIII


Mère, pour toi je ferai un collier de perles avec les larmes de mon chagrin.

Pour couvrir tes pieds les étoiles ont