Page:Tailhade - À travers les grouins, 1899.djvu/26

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L’âme atroce de Caton
N’a pas en lui sa jumelle.
C’est l’arbilre du bon ton.

Les coups de pied, de bâton,
Dilatent sa gargamelle.
C’est Meyer porte-coton.

On prise fort, chez Goton,
L’empois qui le caramèle :
C’est l’arbitre du bon ton.

Il craint le fer. Se bat-on,
Sa cacarelle est formelle :
C’est Meyer porte-coton.

Il éloigne l’esponton.
La flamberge, l’alumette :
C’est l’arbitre du bon ton