Page:Tallemant des Réaux - Les historiettes, tome 6.djvu/440

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tie de promenade avec lui’à Noyon dans la compagnie de mesdames d’Ecquevilly et deTurgis, et leurs amants ; détails sur cette partie, .15. Couplets faits à cette occasion, 56. Anecdote curieuse sur Turgis et sa femme, 57. Histoire de madame d’Ecquevilly, 58. Scandale que donne madameChampré.avec foinville, 59. Le bonhomme Champré, informé, . se plaiqtde sa femme à ses deux frères ; conseil que lui donne l’un d’eux ; faiblesse de Cliampfé, 6o. Poinville renonce à sa dame ; aventure qui ar- rive à celle-ci à la Chapelle ; vers-faits sur elle et sur le conseiller Ber- mout ; autre aventure plaisante arrivée au même lien, 6i. Grande que- relle pour le jeu entre madame de Champré et madame d’Ecquevilly ; beau carrosse que fait faire mad. de Champré, et qu’elle est obligée de re- vendre, 52. Son aventure chez mad. Burin, où elle est allée avec Crinon ;. galant de mad. Burin ; son caractère, 63.Elle t’ai I son mari /l/uzan’n, entre- tient l’abbé Du Bnissou ; aven turc de mad. d’Ecquevilly, 64.Son galant Le- prestre ; caractère de cette dame ; sa constance, son amour pour le jeu, 65.

CFIAUVRY (madame de) ; son mari lui défend de voir madame de Gourcelles ; lui donne le fouet pour une promenade qu’elle a faitéen cachette, IV, 238. Vaudevilles faits à cette occasion ; jalousie de cette dame pour Rambouillet, 230. ***■&-.

CHAPELAIN ;.-a naissance ; d’abord précepteur-gouverneur de M. de La Trousse ; porte long-temps l’épée ; comment ou parvient à la lui faire quitter, lf, 399. Son costume quand il est introduit chez madame de Rambouillet ; sa mesquinerie, 400- Dans quel accoutre- ment il cajole une bile à madame de Montausier ; son goût pour la poésie ;.caractère de son style ; quelles sont ses’meilleures pièces, £oi. Il donne à M. d’Andilly deux livres de sa Pucelle, 4o2. Comment il. obtient deux mille livres dépension sur les bieus de M. de Longue- ville, 4<■3. Par le moyen de MM. Arnauld.se rend familier à l’hôtel de Rambouillet ; compose les premières fleurs de la Guirlande de Ju- lie ; anecdotes à ce sujet, 4o4 et suiv. Autre anecdote sur un livre de taille-douce appelé i Seherzi del Carracio, 4»6. Pourquoi il refuse la place de secrétaire des plénipotentiaires à Munster, 407. Son ode au cardinal de Muzarin lui vaut cinq cents écus de pension, 4o8. Ses odes à M. le prince et à madame la princesse de Conti ne lui rappor - tent rien ; il est un des plus grands poursuivants de bénéfices ; son Avarice, 4o9. Son assiduité chez mademoiselle de Scudéry, -le samedi ; dans quel temps il va chez madame de Rambouillet ; te que pensent de lui d’Ablaucourt et Voiture, 4io. Opinion sur la Pucelle ; M. de Longueville augmente sa pension de mille francs’, 4 ’ 1" Belle invention dont il s’avise pour faire cadeau de sa Pucelle à ses amis ; son ava- rice et sa vanité, ^t. Observations du sieur Du Rivage sur ce poème ; mauvaise humeur de la cabale ; épigramméde Uuière-, 4 13.Véritable nom de l’auteur des observations ; procès’sur cet écrit, 414- Chape- lain se pique de savoir mieux la langue italienne que les Italiens mêmes ; anecdotes qui prouvent le contraire,  !. Il est produit à l’hôtel de Longueville par Arnauld d’Andilly, VI, 263. Lettre de celui-ci sur sa Pucelle ; réponse de Chapelain, 264. Générosité du.duc de Longue- ville envers lui, 266. ’-., -.’’’ ’"i" f.AJHlf K.I.J

CHArtPY, sieur de Sainte-Croix, devient secrétaire de Cinq’-Mars ; s’amuse à s’habiller comme lui ; anecdote à ce sujet ; ses méchants vers, VI, 143. Pourquoi il est pendu en effigie ; se fait appeler Sainte-Croix ; se met dans la dévotion ; fait un livre de dévotion ; charme madame Hausse par son zèle ; est logé chez-elle ; aime sa fille et se fait aimer de