par la préparation de l’immense travail que nécessite l’édition de la correspondance de Peiresc. Reprenez notre beau projet, mon cher Président, c’est à vous qu’il appartient de réaliser ce que de douloureuses circonstances m’ont obligé d’abandonner, ce que vous ferez mieux que moi, mieux que personne.
Avec tous mes vœux, avec tous mes nouveaux remerciements, je vous prie d’agréer, très honoré confrère, l’assurance de mes sentiments les plus dévoués.
II
Vous me comblez de vos bienfaits et je ne sais plus comment vous exprimer ma reconnaissance. À peine vous avais-je remercié de votre Bonaparte-Wyse qu’il faut que je vous remercie de votre Santo Mario del Soulel. J’avais lu ces vers si gracieux dans la Revue qui me donne, tous les mois, des nouvelles de mes bons et aimables confrères du Midi en général, du Languedoc en particulier[1]. Mais je suis bien heureux d’avoir pu les relire dans un exemplaire si coquet, si élégant réservé à de si rares bibliophiles. Cette
- ↑ La Revue des Langues Romanes.