Aller au contenu

Page:Tamizey de Larroque - Mélanges.djvu/123

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Livre de raison de Gabriel du Puy, seigneur de la Roquette, en Languedoc, publié par M. Barry.


1881.


Les foyers d’autrefois, d’après une publicttion récente et un document inédit, par M. Ch. de Ribbe, dans la Réforme sociale, bulletin des unions de la paix sociale, livraisons du 15 avril et du 1er mai[1].

Livre de raison des Maillard, de Brive, 1507-1662, publié avec notes par M Fernand de Malliard ( Bulletin de la Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze (Brive, in-8o)[2].

  1. Ce titre de Reforme sociale me rappelle que M. de Ribbe a consacré une sympathique étude à un homme qui, comme lui, mit au service d’une noble cause tout son cœur et tout son talent, l’éminent économiste Le Play son intime ami, digne de ce surnom qu’aimait le XVIe siècle : grand homme de bien. Voir : Le Play d’après sa correspondance (Paris, Firmin Didot, 1884, in-18).
  2. M. Tholin constate avec toute l’autorité d’un bon témoin (Le livre de raison de Daurée, p. 10), qu’une des communications les plus appréciées faites au Congrès des Sociétés savantes tenu à la Sorbonne, en 1879, avait pour objet ce livre de raison analysé par le représentant actuel du nom. Voir Revue des Sociétés savantes, 7e série, t. I, p. 166. Depuis cette époque, il ne s’est guère passé d’année où quelque livre de raison n’ait été présenté aux doctes auditeurs réunis dans la Sorbonne tantôt à Pâques, et tantôt à Pentecôte. Voir surtout le compte-rendu des Séances du Congrès de 1885 et de 1886. M. de Malliard mérite un très bon point pour sa féconde initiative. — Je regrette de ne pouvoir citer que par ouï-dire et très vaguement, moi qui aime tant à dire :
    « Je l’ai vu de mes yeux, ce qui s’appelle vu »,

    un travail de M. l’abbé Boutillier, sur les livres de famille du Nivernais publié en 1881. — Au moment où je donne le bon à tirer, M. Henri Stein me communique ledit travail intitulé : les livres de famille dans le Nivernais, par l’abbé Boutillier, curé de Coulanges-les-Nevers, vice-président de la Société Nivernaise des lettres, sciences et arts. (Extrait du Bulletin de cette Société. Nevers, in-8o de 20 p.) M. l’abbé Boutillier analyse le livre terrier de la famille de Corbigny (XVIe sièclee siècle).