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19 | May | Mon père, avec la despesche de M. de la Ville aux Clercs. À M. de Barclay [l’abbé Jean, fils du poëte]. Au cardinal Barberin, avec les 3 caisses de livres[1].
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23 | » | Au cardinal Sainte-Susanne, au Sr Aleandro, à Mme Barday, au Sr de Bonnaire (avec lettre de Buon).
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24 | » | À M. de Winghe[2]. M. Roccox, avec sa médaille d’ATEVLA, sur le cabinet du duc d’Arscot[3].
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29 | » | Arrivée de M. Rubens (en lettres majuscules)[4].
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9 | Juin | À Mgr Bagni, à M. Gevartius[5]. | |
17 | » | À M. Spelman à M. Camdenus, avec lettres de Torrius.
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18 | » | Martin m’a commancé à servir par emprunct[6].
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27 | » | M. Winghen avec la F[rance] M[ourante][7].
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- ↑ Le cardinal Maffeo Barberini, qui avait été nonce en France, et qui allait devenir pape sous le nom d’Urbain VIII.
- ↑ À Carpentras. (R).
- ↑ Publiée dans le Bulletin Rubens II, 121. (R).
- ↑ Cette mention n’est pas dans le registre de Carpentras. (R).
- ↑ Lettre en original à la bibliothèque royale de Bruxelles ; un court fragment en été publié dans les Lettres inédites de P. Rubens par M. E. Gachet, Bruxelles 1840. (R).
- ↑ Cet emprunt ne fut pas de longue durée, car Peiresc a inscrit au bas du feuillet en regard de la date 11 Juillet, cette note sur son ondoyant serviteur « Martin est party, j’ay payé sa pansion, plus ay baillé un escu, oultre un autre escu qu’il avoit eu en détail. »
- ↑ La France mourante, dialogue ; le chancelier de l’Hospital, le Capitaine Bayard, dit le chevalier sans reproche, la France malade. S, L. N. D. (1621) in-8o. La pièce, souvent réimprimée (cinq éditions sont indiquées