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Page:Tamizey de Larroque - Mélanges.djvu/252

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3 Septembre [pour Avignon]
Au P. Lorin, au P. de Bus, au S. Suarez prevost, au S. de Mondevergues.
5 »  
À M. de Cassagnes, avec l’histoire de Naples, les essais de [nom que je n’ai pu déchiffrer][1] et les proverbes arabiques.
II » [pour Mompelier] :
À M. Ranchin, à Mlle Clausel (la fille du jurisconsulte Pacius).
13 » [pour Paris] :
À M. Seguiran, a M. d’Agut, à M. du Puy, avec le raisin muscat bigarré de blanc et de rouge en une boitte.
16 » [pour Marseille] :
À M. Viaz, avec les six volumes Poetarum Germanorum, in-16.
Partement de M. Néron (en lettres majuscules)[2].
18 » [par le consul de Foulquier] :
Au lieutenant Arnaud, avec les lettres de M. Vendelin et Gevartius[3].
  1. Ce n’est pas Montaigne et tout d’abord, j’ai été tenté de lire Montchrestien. Mais ce poète tragique, ce créateur de l’économie politique, n’a pas laisser d’essais. Il m’a donc fallu abandonner mon candidat d’un moment et me résigner à l’abstention.
  2. Autre aveu d’ignorance. Je déclare, à ma plus grande honte, que je ne sais rien de ce Néron dont Peiresc annonce le départ comme si c’était un personnage d’importance.
  3. Godefroid Wendelinus était, sans aucun doute, le savant le plus encyclopédique qu’il y eût en Belgique à cette époque. Mais, vivant dans