nait avec une passion véritable. Le saphisme
qu’elle pratiquait la disposait à aimer les
coups de queue, et elle sentait fondre tout
son être sous une fièvre qu’elle n’éprouva
jamais auparavant. Plus la queue de Jean
s’actionnait dans son vagin, et plus elle
tendait le con pour bien la retenir, l’encourageant
à multiplier ses secousses. Il n’existait
plus rien de la craintive petite pucelle
d’antan ! Fillette encore par l’âge, elle s’affirmait
femme, et usait des facultés subtiles
de son sexe pour engluer, séduire cette terrible
directrice, aujourd’hui si entraînée à
l’orgie de la chair, qu’elle ne redoutait pas
d’y associer des enfants de dix à onze ans.
Ah, la délicieuse manœuvre pour amener
la décharge : le ventre d’Hilda se collait au
ventre de Jean ; ils s’adhéraient de façon
absolue, et la friction de la queue dans l’organe
féminin produisait une volupté qui se
communiquait de l’un à l’autre : la décharge
gicla, la même jouissance emportait les
deux corps et les deux âmes ! Jean coula
son sperme avec la même célérité que les
autres fois, et sa queue ressortait du con,
encore toute gonflée : d’un coup d’épaule,
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