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Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/168

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retroussa par-dessus les reins, dévoilant son postérieur rond et blanc, aux fesses dodues et pleines qui semblaient le narguer ! Ah, il ne résista pas à la tentation, il fouetta de tout son cœur, à pleines mains, éprouvant de délicieux frissons au contact de cette peau douce et fine, sur laquelle par moments il se délectait à de brûlantes caresses, qui alternaient avec les claques. Avec une teinte d’ironie, elle lui dit :

— Ne tape pas si fort, si quelqu’un errait par là, il t’entendrait, et il nous surprendrait. Hein, quel branlebas dans la maison. Mon derrière ne mérite pas d’être ainsi battu par ta main.

— Oh, les belles pommes !

— Le flirt prend une tournure à laquelle je ne m’attendais guère, ni toi non plus, j’en suis certaine.

— Est-il possible que l’Institution Sticker contienne d’aussi ravissants postérieurs !

— Laisse-moi m’installer sur le hamac : Clary peut me chercher, me découvrir, et ton flirt serait terminé. Viens près de moi, on s’y blottira, on s’y cachera.