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XII
Oh, le silence lugubre qui règne dans les bâtiments de l’Institution Sticker ! Sans doute, c’est la nuit, et la nuit on repose, on dort. D’où viennent les ombres qui glissent à travers les galeries et les couloirs ! Quels sont ces êtres, enveloppés de longs et larges peignoirs blancs, qui se répandent par les étages de la maison ! On ne se parle pas, on se sépare en plusieurs groupes ; il y a là des hommes et des femmes ! Sont-ce des fantômes qui errent pour réclamer les prières des vivants ? Voilà toute une suite de petites portes et devant ces portes quel-