gougnotter par Lisbeth, Lucy ne refusait
plus d’accorder ses suçons lesbiens à Christya,
qui avait toujours été très gentille à
son égard et qu’elle préférait à toutes les
autres. Toutes les deux retirées, dans la
résolution de se contenter le mieux possible
à la cochonnerie, Christya se mit toute
nue et fit entièrement déshabiller Lucy ;
elle espérait la garder une bonne partie de
la nuit. Elle commença par la gâter, la câliner,
ainsi que l’enfant l’aimait tant. Leurs
deux nudités, si différentes à cause de
l’âge, s’harmonisaient cependant très bien.
Assise sur le bord de son lit, Christya tenait
Lucy sur ses genoux, la tête appuyée
contre ses épaules, pour qu’elle s’amusât à
baiser les petits boutons de ses seins, bien
peu apparents encore, et elle lui claquait
son jeune et gentillet postérieur de petites
fouettées chatouilleuses. Soudain la porte
s’ouvrit et Lisbeth apparut. Avec le sourire
insupportable qu’elle conservait sur ses lèvres,
depuis son favoritisme, elle allongea
une paire de gifles à Lucy et lui ordonna
de se rendre toute nue, comme elle était, à
son dortoir, si elle ne voulait pas s’exposer
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