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Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/70

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sensation, approchait la tête pour embrasser le con en l’effleurant à peine, posait enfin les pieds de Frédérique sur ses épaules, lui patouillait le derrière pour en bien prendre connaissance, se lançait dans les passionnées minettes. Oh, délices, délices ! Plus elle goûtait à cette volupté, et plus elle s’étonnait d’avoir été récalcitrante à la permettre. Oui, oui, comme Alexandra Corsiger, entraînée par Reine, elle devenait une gougnotte de conviction et de volonté. Tout son être vibrait au plaisir qu’elle procurait, et de s’enfouir la tête sous des jupes, elle aspirait avec félicité l’arôme charnel de ses amies, des nouvelles qui se soumettaient à la débauche, reconnaissant chez chacune comme une essence différente. Ce qui lui répugnait, quand elle ignorait la jouissance, se transformait pour ses sens excités en béates convoitises, et elle aurait bien imité Reine, elle aurait bien accepté que toutes ces petites femelles, à la file les unes des autres, s’accroupissent sur son visage. Ah, que ce joli ventre qu’elle admirait en manœuvrant de la langue, que ce con de pucelle qu’elle enguirlandait de ses