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Page:Tastu - Poésies complètes - 1858.djvu/74

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Tandis qu’en vos abris quelques œufs près d’éclore
Froids et seuls reposent encore
Aux nids que vous avez quittés !
Voix du printemps fleuri, que pleuve le bocage,
Du moins en perdant la clarté
Cessez de redouter les réseaux ou la cage ;
Vous rencontrez la mort en fuyant l’esclavage.
Mais la mort c’est la liberté !