adoptive du Grand Orient, d’où vient son nom, avait, depuis soixante-seize années, rendu d’éminents services à l’institution maçonnique, en propageant d’une manière efficace ses principes civilisateurs. La Chambre Symbolique, suffisamment éclairée, accorda l’autorisation et nomma, pour représenter le Grand Orient à cette fête, les FF∴ Hubert, Tremblay et Voury, qui avaient victorieusement combattu l’ordre du jour. »
Jules Besançon (Suprême Conseil de Suisse, Rite Écossais) |
Robert Hamilton (Suprême Conseil d’Angleterre, Rite Écossais) |
On dira peut-être qu’il s’agit là d’une fête de pseudo-sœurs ?… Quatre pages plus haut, le F∴ Ragon chercha noise au F∴ Thory, qui, dans son ouvrage Acta Latomorum (page 139), avait parlé d’indécences commises en 1779 à la loge les Neufs-Sœurs ; et, dans une note, Ragon, rappelant qu’à cette époque-là la préparation de la candidate à l’initiation était confiée à un frère surveillant appelé Frère Capucin, ajoute : « Cette fonction délicate appartient AUJOURD’HUI à la Sœur Préparatrice. »
C’est par centaines que M. De la Rive a relevé des aveux échappés à des auteurs francs-maçons. Aussi ne saurais-je mieux faire que de renvoyer à son livre quiconque voudra répliquer à un sectaire niant l’existence des sœurs maçonnes.