Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/557

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Le guéridon, poussé en avant comme par une force irrésistible, roulait vers M. Sundström, le bousculait, et, dans l’état d’équilibre instable où il était, à demi fléchi pour s’asseoir, le renversait d’un côté, sa chaise de l’autre. (Page 566.)

chez un des membres influents de la secte, demeurant au quartier de Moabit (alors non encore achevé), dans une petite rue, sorte d’impasse, aujourd’hui bâtie de maisons neuves.

Rien d’important ne s’était fait ce soir-là, si ce n’est des papotages de concierges en délire, dont l’orateur le plus inépuisable était un polonais, le frère Kryzanowski (est-ce un parent du Sigismond Lacroix de Paris ? je ne sais ; je le vois toujours, un grand diable à la trogne rubiconde, à la tignasse ébouriffée, et qui postillonnait en parlant, à s’en mettre la figure dans les mains) ; il nous avait_débité tout un laïus, demi-polonais de Cracovie, demi--