Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/605

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La comtesse de M*** poussa un cri formidable et s’évanouit ; elle avait sur le bras une plaie produite par une grille mystérieuse qui s’était profondément enfoncée dans les chairs et d’où le sang coulait. (Page 618.)

mot, l’article du journal ; il est des plus instructifs et des plus suggestifs, comme on dit maintenant.

Voilà donc des faits absolument indéniables. Qu’en faut-il penser ? Y a-t-il quelqu’un qui veuille y voir, un instant seulement, l’action du peresprit d’Allan-Kardec ? Évidemment non. Poser cette question, c’est la résoudre.

Et comme cela donne bien raison à ce que j’avançais dans le chapitre précédent. Les pseudo-spirites n’inventent rien ; ils ne précèdent pas et