Page:Taxil, Révélations complètes sur la franc-maçonnerie, Les frères Trois-Points, 1886, tome 1.djvu/347

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rue du faubourg Saint-Denis ; Léon Masse, avoué près le Tribunal de première instance de la Seine, juge de paix suppléant du 2e arrondissement, 12, rue Gaillon ; Ferdeuil, avocat, ancien conseiller de préfecture, 11, rue des Saints-Pères ; Alfred Blanche, 6 bis, rue Fortuny ; Hubert, ancien conseiller de préfecture, 6, rue du Pont-de-Lodi ; Cammas, 17, rue Guénégaud ; docteur Georges Woëlker[1], médecin, 4, rue de la Michodière ; Manger, délégué à l’Assistance Publique, 76 bis, avenue du Roule ; Edmond Lepelletier, journaliste, 8, rue Drouot ; Léon Zypressebaüm, chef de comptabilité, 17, rue de Malte ; Albert Hubner, négociant en métaux et minerais, 35, boulevard du Temple ; Paul Viguier, publiciste, conseiller municipal, 17, quai Voltaire ; Marie Décembre, dit Décembre-Alonnier, imprimeur, 326, rue de Vaugirard, etc., etc.

Côté du Rite Écossais. — Dehanot, pharmacien, 8, rue Mandar ; Charlot, manufacturier en caoutchouc, 25, rue Saint-Ambroisie ; Nedonchelle, propriétaire, 20, boulevard Barbès ; Houde, tailleur, 2, rue Méhul ; Maichain, inspecteur des Enfants-Assistés, 82, rue Claude-Bernard ; Goudchaux, rentier, 20, rue de Berlin ; Léon Sapin, chef de bureau de l’exportation des Chemins de fer de l’Ouest, 27, rue de l’Échiquier ; Fabien, directeur d’assurances (compagnie La Mutuelle, de Valence, bureaux, 2, rue Grétry), domicile, 66, rue Condorcet ; Dulermez, marchand de vins en gros (maison Dulermez et Bellicard), 7, rue de Lyon ; Jabloschkoff, ingénieur-électricien, 52, rue de Naples ; Précieux, bijoutier en or, 42, rue de Poitou ; Louis Denayrouze, ex-député de l’Aveyron, 18, rue du 4 Septembre ; Renaud, entrepreneur de maçonnerie, 221, boulevard Voltaire ; Amédée Carvailho, négociant pour la commission et l’exportation, 39, rue de l’Échiquier ; docteur Gonnard, médecin homœopathe, 71, rue de la Boëtie ; Georges Guiffrez, sénateur, 32, rue des Mathurins, etc., etc.

  1. C’est le docteur Woëlker qui avait été chargé de me scruter. Comme tout postulant, je fus intrigué la mystérieuse lettre de convocation ne contenant rien qui pût me faire présumer qu’il s’agissait de ma candidature maçonnique ; mais ce nom allemand d’un médecin inconnu m’ayant inspiré une certaine méfiance, je m’abstins d’aller à ce bizarre rendez-vous. Aussi m’envoya-t-on à domicile un autre troisième commissaire demeurant dans mon quartier.