Page:Tcheng Kitong - Le Theatre des Chinois, 1e ed. Calmann Levy, 1886.djvu/152

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et traverse le siècle de la Révolution en chantant des hymnes à la Tyrtée. Le despotisme le rendra officiel et courtisan ; puis il devient bourgeois avec les dynasties mixtes. Il reprend des ailes, se fait romantique et artiste : il est l’esclave de la mode, et, pour montrer jusqu’où il peut descendre, il devient opéra-bouffe. Toutes ces transformations représentent la vie de l’intelligence, une vie immortelle qui anime toutes les noblesses comme aussi tous les caprices.