Page:Tcheng Kitong - Le Theatre des Chinois, 1e ed. Calmann Levy, 1886.djvu/63

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femme comme la beauté à la fleur : c’est sa parure naturelle.

Aussi, pour conclure logiquement, faut-il aux actrices, dans les sociétés où elles sont admises à jouer, beaucoup de vertu ou beaucoup de prudence, pour aborder la scène sans s’exposer aux représailles des comparaisons... à moins que les héroïnes du demi-monde ne trouvent pour les applaudir un public qui soit de moitié dans la confidence.