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Page:Tcherpakoff - Les Fous littéraires, 1883.djvu/44

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Il n’y en a qu’un, l’Arbre de la science du bien et du mal… qui est de lui. L’Amour glorifié, ou Traité de la vraie sagesse… dont je connais une autre édition française, sans indication de nom de ville ni de libraire (mais Moscou, imprimerie de Novikoff), 1786. in 8 de 100 pp., il n’est pas plus de lui que les deux autres ouvrages allemands qu’il cite. Je n’ai pas eu l’occasion de découvrir les auteurs de ces trois derniers ouvrages.


* FOURIER (F.-M.-Charles).

Erdan a consacré deux chapitres de sa « France mystique » (t. II, pp. 135-63) à Fourier et son école ; voyez encore l’article « Fourier » par Courcelle Seneuil, dans le « Dictionnaire de l’économie politique » ; et celui par Parisot, dans la nouv. édition de la « Biographie universelle » t. XIV, 534-45.


FOURNIÉ (l’abbé Pierre).

Cet abbé, un des disciples de Martinez Pasqualis, est auteur de : Ce que nous avons été, ce que nous sommes et ce que nous deviendrons. Première (et unique) partie. Londres, Dulau, 1804. in 8 de VIII-375 pp. et 1 f. Cet ouvrage passe pour le plus complet et le plus exact sur la doctrine du maître, car il est certain que Saint-Martin, après son initiation, avait modifié ses