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Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. II.djvu/195

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« Oh, Teleny ! Pourquoi t’es-tu suicidé ? » gémis-je. « Pouvais-tu douter de mon pardon, mon amour ? »

Il m’entendit, évidemment et essaya de parler, mais je ne pus saisir le moindre son.

« Non, tu ne dois pas mourir, je ne peux pas me séparer de toi, tu es ma vie. »

Je sentis mes doigts légèrement pressés, imperceptiblement.

Le portier fit son apparition, mais il s’arrêta sur le seuil, effrayé, terrifié.

« Un médecin, pour l’amour de Dieu, un médecin ! Prenez un fiacre ! » dis-je, implorant.

D’autres personnes commencèrent à entrer. Je leur fis signe de reculer.

« Fermez la porte. Que personne d’autre n’entre, mais pour l’amour de Dieu, allez chercher un médecin avant qu’il ne soit trop tard ! »

Les gens, stupéfaits, se tenaient à distance, regardant fixement ce spectacle effrayant.

Teleny, de nouveau remua les lèvres.

« Chut ! silence ! » murmurai-je, sévère. « Il parle ! »

Je me sentais bouleversé de ne pas pouvoir comprendre