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XII
DÉCHIREMENT DU PARTI OUVRIER
Après le Congrès de Reims, la discorde fut dans le parti ouvrier. Mais, officiellement, il resta encore uni pendant quelque temps.
M. Guesde, qui avait été opposé à l’institution du Comité national, y entra, avec quatre de ses amis, comme représentant de la fédération du Nord. Dans le Comité, il se trouva en présence d’une forte majorité hostile, mais dont l’hostilité n’était pas déclarée. On se voyait encore, on se serrait la main, « on n’était pas d’accord sur les questions de tactique, mais on s’entendait bien sur le fond, etc… »