Page:Tertullien - De praescriptione haereticorum, trad de Labriolle, 1907.djvu/42

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le De Praescriptione était aux yeux de leurs auteurs comme une sorte de tract de propagande

    xviie siècle : 1602, par Just Calvin, avec quelques autres traités (le Commonitorium ; le De Unitate Ecclesiae, de saint Cyprien ; le De Unitate Ecclesiae et le De Utilitate credendi, de saint Augustin ; le De Rationibus, de Campianus) ; 1606, par Schnell (avec Vincent de Lérins et Campianus) ; 1612, traduction par de La Brosse, dédiée au cardinal du Perron, à Paris ; 1631, auteur inconnu (sur l’exemplaire de la Bibl. nat., Inventaire C 4369, il y a une indication manuscrite : Du Ronsay), à Paris ; 1675, par Christian Wolf, d’Ypres, à Bruxelles (commentaire extraordinairement prolixe qui ne comprend pas moins, avec le texte, de 764 pages) ; 1663, traduction par Hébert (avec le De Cultu feminarum et le De Virginibus velandis).

    xviiie siècle : 1709, en tête des Institutiones Theologicae antiquorum Patrum ; même date, traduction anglaise par William Reeves (avec saint Justin, Minucius Félix, et Vincent de Lérins), à Londres ; 1725, traduction par Braïer ou Brayer, à Paris (introuvable) ; 1729, traduction, à Genève (à la suite de l’Entretien d’un Catholique avec un Janséniste) ; 1733, traduction par le Père Caubère, S. J. ; 1765, par le cardinal Thomasi (avec Vincent de Lérins), à Rome ; 1778, traduction par l’abbé de Gourcy ; 1780 (avec Vincent de Lérins), à Naples ; 1784, à Assise.

    xixe siècle : 1822, traduction (posthume) de Dom Meunier (mort an 1780), à Chalon-sur-Saône ; 1825, traduction par Breghot du Luth et Péricaut, à Lyon ; par M. J. Routh, Scriptor. eccles. opuscula, Oxford, 1832 ; 2e éd., 1858 (avec le de Oratione) ; 1845, traduction par Collombet (F.-Z.), à Paris ; 1880, par Hurter (Ss. Patrum opusc. sel., Œniponte, vol. IX, avec Vincent de Lérins) ; 1892, par Preuschen