Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
PRÉFACE.
Dans une étude précédente[1], en parlant des productions modernes de la littérature russe, j’ai eu l’occasion de mentionner le morceau dont on vient de lire le titre. Je me proposais dès lors d’y revenir un jour. En effet, quelque temps après, le Testament de Tatistchef paraissait dans le Cabinet historique[2], recueil dirigé