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Page:Théâtre de Plaute, Panckoucke, tome 2.djvu/105

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STROBILE.

Regarde.

EUCLION.

Et la gauche.

STROBILE.

Les voici toutes deux.

EUCLION.

Je ne veux pas chercher davantage. Rends-le-moi.

STROBILE.

Mais quoi ?

EUCLION.

Tous ces détours sont inutiles. Tu l’as certainement.

STROBILE.

Je l’ai ? moi ! Qu’est-ce que j’ai ?

EUCLION.

Je ne le dirai pas. Tu voudrais me le faire dire. Quoi que ce soit, rends-moi mon bien.

STROBILE.

Tu extravagues. N’as-tu pas fouillé à ton aise, sans rien trouver sur moi qui t’appartienne ?

EUCLION.

Demeure, demeure. Quel autre était ici avec toi ? Je suis perdu ! grands dieux ! il y a là dedans quelqu’un qui fait des siennes. (A part) Si je lâche celui-ci, il s’en ira. Après tout, je l’ai fouillé ; il n’a rien. Va-t’en, si tu veux. Et que Jupiter et tous les dieux t’exterminent !

STROBILE.

Beau remerciement.