Il se rendra.
Point du tout ! je ne veux pas… Qu’est-ce que cela me fait ?… Laisse-moi… J’aime mieux les punir tous deux.
Comment, nigaud, tu perdrais par ta sottise le bien que les dieux t’envoient ! On te donne la moitié de ton or ; accepte, et fais bombance, et couche-toi à table à côté d’une jolie femme.
Qui ? moi ! qu’au lieu même où mon fils se perd, j’aille faire bombance !
Eh ! oui, buvons.
Allons, quelle que soit cette folie, je m’abandonne. Mon cœur se soumet… Comment ! elle l’aura près d’elle à table, en ma présence ?
Non, c’est toi qui seras avec moi, toi que j’aimerai, toi que j’embrasserai.
Mauvais augure ! la tête me démange. Le non expire sur mes lèvres.
Pense-s-y, je t’en prie : « Jouissance dans la vie n’est pas de longue durée ; et l’occasion perdue ne se retrouve plus ensuite chez les morts. »