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Page:Théâtre de Plaute, Panckoucke, tome 3.djvu/292

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ESCLAVE Elle est vierge, innocente; ménage-la, je t’en prie. OLYMPION Bien sûr. Adieu. LYSIDAME Partez donc, allez-vous-en. SECONDE ESCLAVE Adieu. (Cléostrate rentre avec les deux esclaves.) LYSIDAME (bas à Olympion). Ma femme a-t-elle pris le large? OLYMPION Elle est rentrée; ne crains rien. LYSIDAME Vivat ! Enfin, par Pollux, je suis libre. (A la mariée.) Mon petit cœur, mes délices, mon petit printemps ! OLYMPION (à Lysidame). Oh çà prends garde à toi, je te le conseille. C’est mon bien. LYSIDAME Je le sais. Mais d’abord à moi l’usufruit. OLYMPION Prends ce flambeau (63). LYSIDAME Non, j’aime mieux la tenir, elle. Vénus, puissante déesse, quel bonheur tu m’envoies ! Tu m’as comblé. O délices de ce jol