Page:Théâtre de Plaute, Panckoucke, tome 3.djvu/294

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

i corps! OLYMPION Ma petite femme... Qu’y a-t-il? LYSIDAME Quoi donc? OLYMPION Elle m’a marché sur le pied. On dirait un éléphant. LYSIDAME Les nuages ont des contours moins doux que sa ravissante poitrine. OLYMPION O par Pollux le gentil téton !... hein? Malheur à moi ! LYSIDAME Qu’y a-t-il? OLYMPION Elle vient de m’enfoncer la poitrine avec son coude. En fait de coude, c’est un bélier. LYSIDAME Aussi, tu la touches comme un brutal. Avec moi, qui la caresse gentiment, elle est gentille... Oh ! là (64)! OLYMPION Qu’est-ce que tu as? LYSIDAME Oh, qu’elle est robuste, la petite ! avec son coude, elle m’a presque couché par terre. OLYMPION C’est qu’elle veut aller se coucher. LYSIDAME