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CHANTS DE L’ATLANTIQUE
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Le soir, les anolis chantent dans les grands arbres,
Lorsque la luciole luit.
J’oublie alors un peu ces villes aux beaux marbres
Dont ma jeunesse aima le bruit.
Mon cœur se laisse prendre au charme trop tranquille
D’une existence sans élan ;
Et la mer, chaque nuit, me chante autour de l’île
Son grand cantique consolant.
fin des chants de l’atlantique