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Chapitre VII

L’histoire de la dame Portugaise

Mon père était anglais, négociant en vin à Lisbonne, et ma mère était portugaise. J’étais leur seul enfant, mais il y avait un petit garçon nommé Diego, de deux ans plus âgé que moi, qui habitait avec nous. J’ai découvert par la suite qu’il était le fruit des amours de mon père avant son mariage, mais comme la mère de Diego était morte, ma mère l’a naturellement accueilli avec nous à la maison.

Diego et moi étions les meilleurs amis ; entre autres amusements, un de nos jeux préférés était de jouer aux mariés. Diego en savait assez pour y jouer quand il n’y avait personne autour, et il finissait toujours par monter sur moi. Son membre ne devenait pas assez raide pour me pénétrer, mais il a dû peu à peu effacer toute trace de mon pucelage, car je ne me rappelle pas en avoir jamais eu. Il n’y eut pas consommation dans ces relations, aucun de nous n’étant assez mûr pour cela, mais cela avait un charme qui nous fit pratiquer régulièrement ce jeu pendant un an ou deux.

Un soir, Diego proposa, et j’en fus d’accord, de rester ensemble après notre petite cérémonie de mariage jusqu’à ce que nous allions nous coucher. Cela se produisit le lendemain du jour où je vis pour la première fois sur moi des traces de menstruation. Nos chambres étaient voisines et cette nuit-là, alors que je m’endormais presque car j’avais oublié, Diego entra. Il se glissa dans le lit, il s’allongea sur moi et inséra son membre comme à l’habitude.

Comme nous étions tous les deux nus, cela nous parut bien mieux