Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/75

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Je me glissai doucement en chemise et caleçon dans le couloir puis dans la chambre d’Alice. Je grimpai prudemment dans le lit auprès d’elle et la pris dans mes bras. Je caressai ses seins ronds et gracieux et sentis ses cuisses lisses et rebondies. Elles étaient beaucoup plus fortes que ce que j’avais imaginé en la voyant habillée. Je trouvai entre elles de petites boucles que je caressais délicatement quand elle se réveilla.

« Charlie, tu es donc de retour », dit-elle.

Pour toute réponse j’ai collai ma bouche à la sienne et nous avons continué sans arrêt à échanger des baisers. Elle était sincèrement prête à donner à Charlie ce qu’elle lui avait promis. Elle ouvrit les jambes pour l’assaut attendu et je ne la déçus pas. Mon gland entra avec délice dans son étroit fourreau.

« Qu’est-ce qu’il est épais ce condom », dit-elle.

J’en conclus que mon manche nu était beaucoup plus gros que celui de Charlie avec un préservatif.

Je donnai un coup de boutoir qui enfonça mon gland dans ses muqueuses frémissantes, au fond de ses entrailles. J’étais en extase. Ces moments enflammés me récompensaient de mon attente — et de toute éventuelle rétribution à venir. Elle en jouit autant que moi, à en juger par l’ardeur de ses genoux et par le mouvement de ses cuisses. Je donnai une autre poussée, si profonde qu’il me sembla que ma hampe fouillait sa taille élancée et que mon gland soulevait sa poitrine.

« Oh, Charlie, » dit-elle, avec un soupir mourant. Encore une plongée et le fourreau de la jeune mariée fut inondé de mes jets.

Un moment de calme parfait suivit. Pour moi, ce fut un moment de satisfaction ineffable et de parfaite félicité. Puis elle s’extirpa soudain de dessous moi.

« Le préservatif doit avoir éclaté ! » dit-elle en versant précipitamment de l’eau dans la cuvette pour se laver.

Bientôt, elle revint se coucher et se blottit dans mes bras. Je faisais semblant de succomber à la somnolence et à la langueur et je répondis à deux ou trois de ses questions par un « Euh ! » inarticulé.