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Page:TheatreLatin1.djvu/101

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7* PLAUTE. COlIl`lÉ.lltl'C HU. ’ ` - r' ' ' • • ~ - · ' iQ¤rd|1¤=_p0¤\· tr¤S uwre '1 yndare, tu Yyn. Son pere s’appelart-il Tnesaurochrrsonice- as beau me faire des signes. chrvsidès” Trn.Moi!` " -· li i '· _ · wfw _d ta HCQ"?") TCHCZ ‘°**$ ° ‘* ¤<*>1¤ i de ANS. Non , certes, et fentends ce nom-là pour P F, acc] cnt" _ _ ’ _ la Premlèl`9 fC^lS· Le pèfü (lô Pllllocriite S8 ngmmg Heg. Cependant sr je m en approchais? Théodommède T 22. Il vous dira des billevesées il vous tiendr · e · . ` des gmpos qui n,am_0n* ni _ d , * a Tyn. (zz part) Voila mon coup de mort. 0 mon . , . . , I [ I _ ” pm m wm Au °°St"m° co·ur tâche de moins al rite R d pres, 0 est Ajax furieux que vous Voyez devant vous. 1 p - F epœn S ton mm Hég Gest éual jqmi à lui vement paturel. Je tressarlle, et la peur mc permet . ‘, ¤‘ . ‘_ _ aeineemesoti. ilyn,. (a part) Maintenant Je sms perdu. Me EM ( à 1), Tu in I. Z V _ voila entre la pierre et le couteau. Que faire? four il 'rcl`5 gp wu 6) ¤Uî·î.ngag6?`v°uS *1 m° · · . . , . , [ · , · . _ Hcg. Aristophonte, je suis preta vous ecouter, Eme et Sqllîpesîluîisî I :1 im chcmm °“ sr vous avez quelque choseà me dire. _Z q P mcm 8* _ ANS. Je vous dirai la vérité que vous refusez de le fr rsbïlout rpus conlirnipra i1IOIl assertion. Mais · · . . . ' [ il · , · croire. Avant tout_|e veux vous desabuser de l’idee I.`? ` qcm 8* west p‘eS°"tC****"*t? \ _ que Je suis maniaque : je n’éprouve d`autre mal que He? OU Je v°ud*"°**S *1** ** **6 fut Pas Bi 0l! 1l $0 celui d’etre esclave. Mars que le roi des Dreux et P*"îÈ"’ n aux du mnde- Ah- Je $***8 ECTGSC, 11118 · · . , N ' r I , des hommes ne me permette jamais de revoir ma 8** Pœœs Pm a P6"**d*€ de C6 $(7% Emi- * mh 1ï1€1l€ ' ‘ ' · · • ` `l ’ l ' l ` pmrœv S-,] n’eSt pas wm que œlmqa n est pas plus ou .1 a rou u avec ses fourber-es. (a Azzaëop/tonte) Pliilocrate que nous ne le sommes vous ou moi. MMS "°Y°'*S• que ‘*°*S'J@ C*`0**`€? llég. Oh! Oh! Mais dites-moi, qui donc est-il? Ãl'$$· -l•î‘ 118 VOUS *11 1'1€¤ dit (1110 de vrai et dont Aris. Le même queje vous ai dit dabord, Si vous V011S}t1¤ p\11SS1€Z acquérir la prouve, me protrvez le contraire, je renonce à retrouver II€g· Je pu1S le tenir pour certain, jamais ma famille et la liberté. (ins. Rien de. plus certain que cette certitude. I1ég· (à Tymlam) Qu·a,.€z_vOuS à répondœp Philocrate et mor sommes amis dès l’enl`ance. Tyn. Queje suis votre esclave et que vous êtes Jlleg. Mais fartes-mor le portrait de votre unit mon maitre. Plirlocrate. llég. Ce n’est pas la la question. Avez-vous été Arâs. Volontrers. Le visage maigre, le nez pointu, de condition libre? la peau blanche , les yeux noirs , les cheveux crépus Tyn. Oui. et tirant sur le roux. Arts. (Test faux; il vous en impose. U€Q· C`€5ï hlm Cëlü- _ Tgm Qlpen Sawmp pour parla si hardiment, Llyn. Dans quel emliarras me SUIS-JB fourrédà? as·tu donc été la sage-femme de ma mere? mn|l18tl1'€l1S6S VCTQBS, 0fLVa Vous mettre en pieces Aris. Je t‘ai vu tout petit, n’étaut moi-même Sur mon dos. A n qu’uu enfant. l1ég· Ou (11,3 Joué, Je le vois à présent. Tr n. Mainteriant tu me vois tout formé · et toi, T1 n. (à art) Chaines, entraves, ue tardcz—v0us _] 1 J certes. tu n’es plus un enfant. Ne te mêle pas de d’embrasser mes jambes atin que je vous prenne mes affaires;je ne me mêle pas des tiennes. sous ma garde? False, faciam , ut verus hodie reperiure Tynilarus. Qui id tam audueter dicere andes? Arisz. Puerum tc vidi Quid mi abnutas? Tynd. Tibi ego abnuto? (ud Hugioircm) puer. Quid egal., si absis rongius? Goa Tynd. At ego te video major majorem : hem rursum tibi ! Hey. Quid ais? quid si ndcam buuc insanum? Tyml. lîugas. Meam rern non cures , si rcetc faeras; num ego euro tuam? Luditicahilur. IIr·g. Fuitue liuic peter '1‘1resauroeh1·y$ouieoclrrysides? Gnrriet qnod neque pes unquam , neque capot conparrnt. Aria:'. Non fuit; neque ego istuc nomen unquam andivi ante Ornamenta alrsunl; Ajacem , hunc quom vides , lpsum vides. lruuc diem. I 627 Hey. Nihili lacio, lumen adibo. Tjnzd. (sccum) Nuno ego ghilocratiTheoâ]ororrîede·Sfu1tpa|er; Tynd. Pereqiprobc. onmino olicidi uin quicscis , ierec um cor meum . i, ac suspen e te. None ego inter sadrum saxumque sto; nec, quid faciam Éusuhsultas, ego miser vix adsto forniidine. scio. BID eg. Satirfistuc mi ri exquisitums uisse hum: servom in Reg. Do ribi operam, Arislophontes, si quid est, quotl mc Alide? wlis. Neque esse lmne Phiiocralem? Arlst. Tam sans , quem nun- Arist. Ex me audibis vera , quan nunc lalsa opinare, Hegio. quam hoc invenies secus. I U Seti hoc primum me expurgare tihi volo, mciosnniam Sed, ubi is none est 7 Heg. Ubi ego mrnurnc, nique ipsu; se Neque tenere, nequc un esse ullum morburn, nisi quod ser- volt maxume. vio. Tum îgitur ego deruncinatus, dearlnutus sum miser. At ita me rex deorum atque hominum laxit patrize eonpo- Hujus sœlesti teehnis, qui me, ut lubi\u.m’s!, rluctavit riolis. tem, M5 Sed vide, sis. Arial. Quin explurutum dico ct provisum hoc Ut mie Philoerates non magie est, quum aut ego, aut tu. tibi. Q [ i i 1 pas H¢’y· Elio! dî¢1î1ll1î. _ _ _ Hcg.Ccr:ton`? Arist. uin ni 1il, nquam, nven esmagis 0- Quis igitur iiIe’st? Arist. Quem dudum dixî G prlnûlplû carto cerlius. tihi. Philocretvs jam inde usqne amiens (uit milii a puero prier. Hoc si secus reperies, nullitm causam dico , quin milri Hey. Sed qua 1`acîe est tutu Sotlalis Plrilocra1|.es7 Ariel. Ui- Et parentum et Iiliertutis apud le deliquio siet. cam tibi : _ mg, (nd Tyrrdarum) Quid lu ars? Tynd. Me luum essc Sel'- Mncirenrn org , naga acute , eopore nlbo , et oculrs nlgris, vom, et tc meum lrcrum. Hvg. Baud îstuc r0g0· 620 Subrufng, miqnamurn erispus, cirxcinrratum Meg. Convcnir. Fuist1n’]il)et‘7 Tyud. Fui. Amt. Enimvero non fuit, nugas Tynd. Ut quidem, hcrcle, in medium ego houle pessnme ngil, processerim. A h 612 Zynd. Qui tu sais? an tu fortasse luisti mcœ mntri ohstelrix, Va: iris virgis miseris; quœ hodie in tergo morlcutur men.