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CASINA.

PERSONNAGES.

le style des anciens vous charment, les anciennes S1êi.5z1;ou,vîeIllard,manl de P tils de Stalinom t d C0mÉdî€S ODÈ droit à votre prédilection; car les na. Aunsruscn , servao c o v , I ~ · _ CLÉOSTHATE, sa femme. Cléostmuh I I10\1V6ll8§ QU OD 10115 do IDC DB SCÈDÈ g’|,10l‘B dc mcll OLYHPION, son fermier. CASINA, servante de Cle0S~ lBUl’ 3lOl que la nouvelle mO!1nJJ1€ (1). La Hllllellt ^’$~S’È1iE’£.’§'.:. "°“ “"" °“" °° §Lîâ.;·’à‘¥àî.âÉ*° “""” D"’ ruuluiuë uuuu uuvmuu que vous Soulwltez de voir Mpinnêilglg, sa femme , amie tèln_cnis1nier. t ;l_8S C0m€d1€S de Plante. Nous allons en jouer une e strate. ursmiers Servan es Del’- î ’ · · . mmm, esclave, écuyer du sonnages muets. ’ (fn , imc Bmw qwgoptmt vos Suffmgqs 1 mm) Bus La _ t _ Mm p aoes au rang des vieillards. Quant aux Jeuncsgens, ‘°°“° °’ “ °‘· ils ne la connaissent pas : mais nous ne néglige- ’ tons rien po11r qu’ils en aient une bonne idée. A ARgUMEp1*]j_ la première] représentation , cette pièce l’emportn _ sur toutes es autres. Cette é 0 e · ` ’ ·‘W"’b"é à "““’“’“"’ l’élite des poètes , quidepnis sonll llgllâgrlgîgmî I I ’ A . · · . DQUK ustguvuu du même mümü f¤<> MC Ml ¤¤ m¤¤¤S8 mune demeure. Mais, tout absents qu’1ls sont, ils di. ll . · 1 ’ · — · · · ïîlît’§ïâ"’ L ‘îîîL".Fî §.§‘;î,.î‘;*.“L‘;"S*iii;§}§î(,;§i’î§*`·}c;;“ vuumt cm qui sa encore ..,,. J., I , I II 1l . ’ - · · . . , . . . u l r · · Y · , lard; mais 1l est dupe d une ruse. Ainsi on substitue à la Ta pp 1; dqsomîmî nosfmmmls de lot?-C bœnlml jeune ülle un esclave brutal qui bat son maitre et son fer- .nœ`_ îmmssçz Ou, Sollchmsongez p_aS°’ vos cream mier. Lejeune homme épouse Casino, qui est enfin recon- mers · C CSE aulourd hm fêœî ]€S_ USUUHS VOUS l10n` mœ libym nent conge (2). Tout est tranquille; les alcyons fe- mm raient leur nid sur la place publique. On règle les comptes , mais on ne demande rien à personne pen- PROLOGUE · · — · ’ dant les ]Cl.lX I OD DE l’€D(.l PIED &pl‘CS. PUIS (l0l)C (IUE Saluuhonorablcs spectateurs quiestimez la Bonne ES SOUÈB "C homdofment P·’fS_à VOS 0î’f‘ü]€$ · §¤0001’· Foi , et dont la Bonne-Foi fait en retour un si grand °Z‘m°‘ "‘ÉtÈ° m°m‘°n· J? WS VOUS ‘l"`€’]° mm ÉU cas! Si j’ai dit la vérité, donnez~m’en une preuve °m“_ °°m8d1‘*_· cf) €"°°¤ CÈS’: Clëuu·u<=u¤¤»,¤u min bien claire , afin queje sache tout de suite si je puis Sî’°m”i"S· DlPP1l€(37 1 [mem SWC: eu BSÃI auteur 3 compter sur votre impartialité. Ceux qui se plaisent P auœ 1 R traduite en mm et lm a donne un mm aux vieilles comédies ont aussi bon goût que ceux d°If‘É"z“e· 1 , _ qui ne boivent que du vin vieux. Si les ouvrages et ci _ Bmeurcnhenselnb 6 dans,];’ me""? mfuson un vieillard marie, et son fils. L esclave du Jeune

  • C’est la traduction Tune pièce grecque de Diphile , qui était inli-

tuee lc Sort. La Clitia de Machiavel est une imitation de la come- (1) Après la seconde guerre Punlque les écus furent rognes et alté- dic de Plante. Les Folies amoureuses , et surtout le Mariage de I-1- réa. ·— (7] Personne ne pouvait otre traduit cn justice dans La temps gare, lui ont egalement lail.tl’l.1cureux emprunts; le sujet etl’|ntri· des jeux. —-(n) Contemporain de Ménandre, il avait compose, dit-on, gue de Beaumarchais ont une analogie frappante avec Casina. cent comédies : aucune n’est pnrvcnuejusquïh nous. DRAMATIS PERSONRL Ut vos mi esse aaqnos jam inde A principio sciam. sT.1.ma,scns«,~»a1or cams. Cnsnnws, same. armtger nu Qui utuutur vîuu vewru. savîeuleîu pute. s · `î“°°"à^ï·t ’1ë"â’§ ?l’â‘Ãî.”‘l‘ pîàîiïëïï. mt . C .·.“.t..1.. Et °“‘ ’“"°"’”' ‘°°°’“ “P“°‘“"’ fA"“’“· A 1lut’i 1. ··, l|·l . · iÉè‘£§‘ȧ«1s,.«aer,am««ats««· (1m.•u,ancIlla essaim, ....1 Auuuuu uvm qt wuhu <1u¤u~ vulve 1>l¤uuu¢. llnonls. M [ml 1 uatu lnbern. Muta persons. Equom planete st ante veteres fabulas. Ml’M\¤1¤^· "¤¤!‘ W9 · am ’ °°9"‘”· Nam, nunc novœ quœ prodeunt, comœdiœ °" m°°""°m’ Multo sont nequiores, quam numi novi. ’ lû S°°“* °‘ ’m‘· Nos postquam populi rumorem iutelleximus , Studiose expetere vos Plantiuas fahutas, Antiquam ejus edimus comoutliam , ARGUMENTUM Quam vos probastis , qui estîs in senioribus : Num juniorum qui sun! non gnorunt, scio. IG fu °"’°m°’ vœu"!`) Verum ut eongnosczmt, liabimus operam sedulo. PRISCIANL HBH: quoin primum acta ’st, vicit omneis fahulas. Ea tempestate flos poctarum fuit l p . . . . . S1mf:;Y;’::(B2;îT’gmïlmlfïu ci dam Qu1 nnnc abierunt hmc m comniunetn locum. . ,53,,-; sqlnvsz, senem ; verum declpltm dnlis. Scd Abâenîêlâ tamen pl‘0SUll[ prmsam 1hus. 2;; M ul snbglelwr pro puclln servolus Vos omneis opere magno esse oratum volo, ’ }Y¤quam‘; qui domlnum lnulfmt ¤|11¤¤ vîlllüllm Benigne ut operam delis ud nostrsum gregem. A•l¤l¤¤¢¤¤ •‘ï’1•¤î’·°l"l¤ C“""““ °°"“’·“m· Ejlcite ex anima curam atque aliexiumus; .._~.... Ne quis formidet tlugitalorem suum. Ludi sont zludus datus est argeutariis. 25 Pli(]LOGUS. Tranquillum ’st; alcedonia sont circum forum. Ratione ulunlur lud is poscuut uemiuenr Salvere jubco spectutores optumos, Socuudum ludoslredtlunt autom nemini. l Fidom qui fuollis maxumi ; et vos Fides. Aurais vacivœ si sunt, animum advortlle : Si verum dixi , signum clarum date milii , Cumudini mmm dare vobis velo, 30