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Analyse des comédies de Plaute




AMPHITRYON. çémtarcîxc , Éaitlc, Bott; nîemon ,jbnrbe, cheveux, OIL BB El'] Il PIII! , C D US QUI! C lIE\€I|Xt Amphétryan est une des nœiiœums pièces dc Pluuic : Mm M ¢¤¤¤¤¤¤1¤¤¤F¤1M¤¤¤¢J¤ 5¤’¤·s¤¤~P aussi au-t-clln été traduite dans presque toutes les langues, ';‘§rî§";'Là°cÃ:;r;;'£]î' g:È“Èc2îS;'Èî'g:¤;§È°'°' représentée sur presque tous les théâtres de 1’Eurupc. L I 1 h d ,è d D é I ,· , · . , · l . n · Lope du hllalabos la fmt cnnnmtre aux Espagnols; ° P " Oîop 6 "°“vî`m_ îm a p' f° È la“t°,“ ° a L Dam aux Italiens, dam sa comédie dw Mama; Dry tam. exemp c des Qontuaductmns de lçspuyt humam, de cg dm aux Anglais dans une imitation tmp lîœndwœ mélange de crédulxté aveugle nada rmllcme frondcuse qua même pour la pzirterre de Londres. Mais notre Molière a fm apparemment I? fjm? ds “°"° °?"actèœ'_Cj'ém°m les , . , | · 1 | le | 5- surpasse, efxhcé tous les umxtatcurs et le modèle même. mêmes mmglcs q"à È ‘ in au Cap_t° ”_° mer au tâè · ·~ - I Mohère, en conservant tous les personnages du poete la- bm" as tr Sg'? lupl ï' ¤*_·1¤·_«··¤~·=«·* au t lé ne . . , . . ., , · l · I 1· îm , leur a donne mm pl1ys10n0m1c dufércnte, appmprxée "PP"*‘}‘ " ““;"P‘ _°° 1‘°'““ ° "“ '“‘“ °°“*‘*’ ° 'mü ° au goût de spectateurs différents, et surtout une couleur des (ÉÈBLW · H a'v°“S"T°"S pas dmmé le même SÉe°tÉ' plus fortement dramatique. Uintrigue est aussi la mème; ¤1é¤_·¤î9E¤f¤···=¤%*» I°'î°i"° IF, délm m°y°“ âge J°“°"· mais avec quel art , avec quelles ressources de génie, Jé’“°'C " 'S ’ la Vmge e BS S‘"“tS· Molière Pa-t·îl conduite ct développée! il suffit de citer la , scène de la lanterne à peine indiquée dans Plaute, ct d’un L ASINAIRB si grand effet dans Molière. n · U. _ i il · · ,

Cette pièce est trop connue pour en donner l'analyse sg. mg? gïgnguâog àîœsîg [SSS]`; îîggïsîgnlaîïîëssi âeï Haute appel]? sa pièce tmg}`c0médœ’ p?rœ,.quîu” y volt dantqune nuit, um: vieille wurtisanc qui traüque des ïâllèrîèëiîzgàeïïâë “°îeï‘;'3 îtugxlèîiïu Sg èïjîtëë charxncs dc sa fille, offrent un tableau que le spectateur ülglltl JB Jupiter m zfun genéral «l’a.rmcc. Bmlœüu pmré. 2  ;;;;€S°““" mt P°“'* Le P°'œ"° de Mme ému rait le prologue de Plante à celui dc Molière; la parterre: L,inm_îPm_` de la maison murtisanœ véritable aw nc *··* ü vm·1··~<=~*····¤·é m*S~>··· Mm "~*~··‘**'··~ P*··‘·=" n.».· «.· mg M «·cm.,¤m est une peinîurc pleine de juge prouve le rare mérite du poète latin, Le déuoümcnî 1.0;% ;T_üm€|& curieuse qui’ par mn immommé même surtout, singulièrement diffinüc dans un sujet aussi dé— p0m,âît,‘wmm€ rcsdavê iv"; de èparte Servir dœnseiî Iical, est un cheîïd’œuVrc d’art ct dg bon goût. Jypilcr, gnemem à la jeunesse romaine- ce qu; excuse www en déclarant qu’Alcmène n’n cédé qu":: sa tUlli€•])|]lSSHllCE Yauteur duvoh, choisi Souvent un Damn uw de Scène c[S\1!'LOUÉ àsa tr0mpc¤1sc¤·csscmblance avec AmpI1itx·y0n, CEL qu,à Rome il n,y avait pas de Société pmpmmenê sauve la réputation de ccltc épouse si lmnnctcmcnt iuîî- dm de grand monde comme dans mmopc moderne La `I . ` ' | i ·' · ' · · , ` · îîéîüàîttâlzïgléliîanîë dé°°“°°* mm dwz les M ° B"' manson des courtnsancs étant un rendczwous ou I on vcnaxt . ' . . délasser des alïaîres et des brigues du forum où |’0n l 1 ’ I · se · . - - .l esgàïî? de Tapçelîê qndamët M°§èr9' Emma `àmn parlant souvent d autres choses que d’am0ur et Ãe [maln- 2‘;î.‘îl; Pâë? Z€.“î.î £Jî.,.îîL, â'?â2u$«î;‘î’tï£î‘1î SZ; M Les ··'*m de "*~*·>"*· *85 dis Ceëë **·t~==·*·€§ ···· " " S 1sx nr ami Iàd sa 1 num vers fort biexftournés. Mais sa pièce, q¤0iqu’il ait suivi Ègcîîfîsgèmesî ïhougàir dînâiîlîncâlcfînîïos“n·à_t_â îëîge >1 îïa sgjîzîsîsgz tîëîîîêeicksüâgl ‘:lf“:ta°";ï pas été le salon commun des hommes d’Etat, des écrivains · I ' · " ' l I dist' és du xvn· siècle> Les autres oints de remplir Sm cinquième acœ quyen repmdumnt les mêmes rîxngnïîétaicgâg boutique du parfumeur, du phgrmacîcn ‘ situations, les déconvcnues, les tribulations de Sosie et ou du barbier. comme, en France le cabaret Sous d’Amp¥1itry0¤. Mais gn pourra. voir par hfextraîî suivant Louis X1 V, et lgcafé depuis la Mgenœj I ( I D v · · · - · C mmm '?° S Yle qm ÉCIÉW da“S,“°"° veux PM °v ‘?° t il ne faut pass ymeprcndrc. La jeune courtxsnnc del Ast- ]° ment nest pas asse" °°“"“' C est S°S'° q'" p“"l° · nain: n'cst pas une créature dégradvc qui étale son infa- Chcz Ics grands le servage est plus rude fm cc point miü MIX y€UX (IES BPBCÈHICUFS, EI ll'îOITIphE dc SGS IIUIIÈEUX '?“::¥nÈ°'Èuk‘ "“':ë:îc*3 ";'*;"ï,i¥;°::|;e succès. Elle a de nobles scnthuents ct une délicatesse qui gr qnfilëant qugntîztlîl ploic ÀDQ.1 Ãe là"- caprjgg la relèvent et la rendent intéressante. Tout Podieux, mme ................... à ........ la honte tombent sur sa mène, la vieille Cléerètc, exposant, ·····-· · ’ · · ' · · · °'P°“' "m°" m"""" à haute voix et sans rougir la secrets, les perüdies de la ` d . . · . . . ?'°_ ·1駷·3·£ }°_l'_ _°_°1_°`î' _____ son val méher; ügure d'un îefnronté cymsmc, pemœ aven Enun autre au,'|nurd’I1¤1je me mauve moi-mem; Yénergic de Juvénal. Le contraste entre la corruption b. ,