Page:TheatreLatin1.djvu/309

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nez PLAUTE. Még. Qu’est devenu le jeune homme? rendre un grand service au public. On aurait bien- Call. En vendant la maison , il s’est réservé un tôt chassé ces gens qui savent tout sans rien savoir : petitlogement sur le derrière. et l’on n’entendrait plus le bavardage de ces imper- Még. (Test ce que je voulais savoir. Allons , portez- tineuts. vous bien... Encore un mot... , *, rar. Quoi? ACTE DILUXIILME. Még. Et la fille demeure-t-elle chez vous? ` ; - Call. Oui, etj’en prends soin comme de mon pro- SLLN E I- pre enfant. I , · Még. (Fest bien agir. LXSITELE" CGU- N'üV•¤Z·"0¤$ Plus 1'1611 6 me demander avant Que de pensées, que de sentiments divers agitent e e parte? mon cœur et 1n’afili~en’t. Le Chaerîn me consume , — . r . · U O _ _ A 9 MEQ- A<l1€¤- (C¢1”¢<`l€·* SO"'?-)N0¤» J6 "E comms me torture, m’acczzl>le; ma propre imagination est rien de plus fou , de p|¤S SOI, de [>l¤S m¤¤ï€U1` t de mon bourreau. Je ne sais quel parti prendrelje n’ai [11118 ï>¤Vî1Y`d» de P US mdlSC¥`€ït de Plus Pmldô que pas assez rellcchl sur e mont du guide qu’1l faut CGS badauds qu 011 ¤[>|J€§U9 P?1¤‘€¤S1€€8· Je WS fmilüünœ suivre... L’amour ou Yintérêt? Lequel des deux me 0€p€I1d8¤€, Cïjë WB WSS9 Pfëüdflîa IBUTS m€"S0H' procurera le plus de jouissances dans la vie : je ne ges- Il Sëmblë qu 115 5¤*'Èm_‘0ut« et 115 Dj? Sîîveîft mm- sais. .. Pesons les avantagesdes deuxcôtés 1 soyons ici [ls savent ce que le roi dit iout bus H ltlfülllü de juge et partie... Oui, c’est bien dit... Examinons la reine. Junon cause-t·clle avec Jupltêl'? 1lS 5fI\’¢¤C d’ab0rd les ruses de l’amour. L‘am0ur ne prend ja- toute la conversation mot pour Imnh US sont t¤f0f· mais dans ses ülets que celui qui le veut bien. Il l’at- mes de ce qu1n’est point arrive , de ce qui n arri- tire. il le poursuit. il le flatte avec malice. ll prend · . ,. ·· IA } _ · x » vera _]3ll‘I3lS. Qu ils louent, qu ils b amept il tûft toutesles formes , il est tour a tour complimenteur, ut à travers, peu leur 11np0I`t€ , DOUTVU qu }lS‘d€l31_· ravisseur, menteur, gourmand , avare, roquet, vo- tent leurs sotuses. A les entendre tous, Calboles n e- leur, corrupteur, insinuant, doucereux, demandant mt plus digne dc vivre p·'1l'n1ltS€S 00IlClTOY€¤$; il sans cesse, curieux de tous les secrets. Quiconque avan; depouillet un fils de fonnlle de -SOI1 1n`0]n”€ s`avise d‘aimer reçoit dc lui des baisers qui sont heritage. Et lI10l_]€tl`llCfîllS, §€1llSl€ VOUl0lI;,·lQ C0lp01`· des 00ups de javelots ; notre substance s’écl1;1pp9 gp teur de cescalommes , et viens fondre , 1 injure u la se perd. « Mon cœur, donne-moi cela, dc grâre,» dit le bouche , sur un ami irreprochablelt Ab.! si l’on frîpon. La pauvre dupe répond ; ·· Très-volontiers, remontait a la soutroe des faux bruits, snton avait nfamour; et plus encore si tu le désires. » S`il hé- la prudence de les veriner, ils tourneraxent a la con- site, le traître redouble ses coups : il se répand en fusion et à la perte des calomniateurs. Ce serait supplications. Un premier sacrilice nc suiiit pas. ll Meg. [sine volebam saire: isane nuncjam· Dolorcm indipiscor; egomet me concoquo, et macero, et Sed quid ais`? Cult. Quid'! Meg. Nuno virgo nexnpe apud te defutîgo. 226 est? Call, Ita, est: Magister milliexercitor aninius lnînc est : sed hoc non li- Juxtaque eam curo cum mea. Meg. Recto facis. quot, Ca];. Num, prinsquum abeo, me rognturus? Meg. Vale. Neo satis cogîtatnm’st, ulram potins harum mihi artem expe~ I I t (¤ulu~im1»n.) tcssam, Nihxlest profecto stultius, neque stolidrus, 200 Utmm œtott ngtmttœ mtttttot ttrmtorom : amotm, met tm Neque mcnducilnquius, nuque urgutum magls, rei Neqlle 0¤l1|î€l_€¤l1l_0RLll'-\$· _|\€1I¤0 P€¤‘JW`1¤$· Obsequi potins par sicl; ulm in parte plus vuluplalls sit Vilte Quum Llrbalîl £tS!=lll|.lX Clt 0lS,t (|'IJDS SC|:lI'ru5 \0(:u\1t. Ad œtttttsm ttgttttdam _ Do hoc to mtttt sans haut] ttquttt ttttsi Atque egomet me advo cum nus una tlndem Lraho, ttoo 230 Qui illorum vorbis falsas udceptor lut : I 205 Sto tootom t optoot.; ottamqoo tom Stmttt oxtmtemt jooox Qui omma se sunulant scire, nec quidquiun scnmt. _ sim. Qllüd Ctmâülîm 1l\8"lm°hül·‘€l· au l**l`f"*—lÈ'-le im: Scmm- Reusque ail cam rem. Ita laciam! ita plucel! Qnuinm pri- Sciunl id , quod un uurern rex regmae ducerxt; mnm, Sciuutid, quod Juno thlvulata est cum love;- Amotto attoto ploqnart qnetnadmodum oxpootoot , nom Quan neque futura, noque facto, iln tnmen smunt. BIO ooam Falson’ un vero laudeut, culpent,quem velint! Amor qoomqtmm tttst oootoom homtttom postotat So tn Non lloccz facnunt; dum illud , quod lubenl , sclant. plages Omllw m°È'¥mS h¤·1•>¤~¤e··t C“"'“l“m Conjicere; cos cupit, cos conscctatur, subdole blanditur; lndignum cmlale Inn: asse et viva-re, ab N 235 Bonls qui hunc adulcscenttem evorusset suis. sis Consttttt tttandttoqutmtotost tm.pogo_ mooouxt copoost Ego de eorum vernis luinigetuwrum IHSCIUS oVm.uS, 1 P1'¤$li¤Ã"""°‘f'“ camgamm i“'È°x“lm• _ Eleguus, despoliator, latcbricolarum hominum conruptor, Quoi] si "Xq“"“l“"_“‘q“° fm 5mPÈ *°‘È°l°""”· Blandus, inops, celnti indagator : nam qui ab eo, quoi] Undc quidquid audttum dmant, msi 1d ndpareat, amat, F"mlG"'at°'l S"_°“É* d‘“““° et mele ‘ 220 Quam extemplo suviis sagîttaiis percussns est, inlico res Hoc ita si fiat , publico nat bono. touts i Paucl Slnl. fi·lXllD t qui Sclîllll, qllüd DBBCIUDÈQ Luhtturt 'tiqtlttutn Da mîh] hnct mg] mgum, S] mg amas ‘ Bt Obclusioremque habeant stultiloquentmm. ttttttœ gto · . lbi ille cuculus : Ocelle mi, tint! et istuc et si ampllus vis ACTUS SLCUNDUS. dm-jt ’ ’ Debit . llni illn pcndentem fr-rit~ jam am lius oral. Non SCENA PRIMA. gf ’ " ld est mall ni ampiius eliam, quod ebiblt quod coment LYS1TELES· Quotl mur sumti z rox datur? ducnur fnmiliu tutu;. ` Malta: ru simitn in meo corde verso, mullum ln cogitanclo Vcstispicw, unctor · nuri custo , l1¤l>€llilcrœ,s&nduI¤gcri1l¤