Page:TheatreLatin1.djvu/33

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tout en notre pouvoir, PIIX, êllft lt), 8 II’ PDIOMS, le $0,01 fésîe FOUCIIB PZITCG ql1’llll Il’0[) hl!. Je SCFBIS leurs biens etlleurs dieux. Ensuite on donna a mon bien etonne s’il n’ava1t un peu plus soupe qu’à son maître Amphitryon, comme un hommage offert à ordinaire. sa valeur, une coupe d‘or dans laquelle lc roi Pte- Marc. Coquin! voilà donc comme tu parles des rélas avait coutume de boire. Voilà le récit que je dieux! ’I`u penses, apparemment , qu’ils te ressem- ferai à ma maîtresse. A present,continuonsà rem- blentl Laisse moi faire, tes paroles auront leur plir les ordres de mon maitre, et entrons dans la récompense. Viens ici, tu te trouveras mal de la ren- malson. contre. , Merc.0h!oh!jecrois qu`il se disposeàentreuje Sos. Où sont ees libertins qui veulent toujours vais au-devant de lui, et je réponds qu`il n’appro· coucher deux? Voilà une nuit superbe à passer avec chera pas de cette maison 6lI_|()UI‘d,l1Ul; a la faveur une lille! Ils auront le temps de lui faire gagner son de sa ressemblance, je veux me moquer un peu de argent. lm ____ on çà, puisquej’ai,pris sa iigure et son main- Mere. lllon père suit justement le conseil de ce tn·n,`il fout aussi que Je prenne ses mœurs et ses maraud; il est couché avec Alcmène, et il met les ‘ _ mameres. Il faut donc que go sols un vaurlen, un moments à prolit. fourbe, un jure fripon , et que je le batte avec ses Sos. Allons faire une commission, et donner Er propres armes pour Felorgner de la maison. Mars Alcmène des nouvelles de mon maître. Mais quel qu;est~cc 9. Il regarde le ciel; observons un peu ce est cet homme quetje vois devant notre porte à cette qu il va faire.- 1- · I IIEUTE de lil nuit? ll n mauvaise mine, A sos. Ma foi,’s il y a quelque chose dont je croie Mere. On n’est pas plus poltron que ce faquin. etre certain, cest que Vesper a trop bu cette nuit, Sos. Que veut-il? Il a bien Pair de croire qu’il et qu’il dort pour cuver son vin. Lesétoiles de y a quelque chose il refaire à mon manteau. l’()urse ne bougent pas de place dans le clel; la liuue Mere. ll a peur; je vais nfamuser à ses dépens. ep est precisement-au méme point que lqrsqu elle Sos. Je suis perdu; la mâchoire me démange; s est levee; rn l Qrion, ni Venus, ni les pleiades, ne cet homme-là va me recevoir à coups de poing. (Fest descendent sur I horiaon; toutes les etoilesresteut par bonté sans doute ; et connue mon maître m’a u leur poste, et la Nuit parait bien decidee a ne pas forcé à veiller, il veut me faire dormir en m’as· céder la place au Jour. · _ _ Sommant. Pourle coup, je suis mort! quelle taille! Mere. Fort bien, complaisante Nuit : continue quelle vigueur! d’obeir aux désirs de mon père. Tu rends un bon Mere. Je vais parler haut, alin qu’il entende ce service au meilleur des dieux .... Tu ne perdras pas que Je dirai. Je veut: le faire trembler de plus en ta peine. t i ‘ · L‘lUS· Àll¤IlS, INES p0lllgS; il ya trop longtemps que SOS. Je ne crois pas avoir vu une nuit aussi vous vous reposez, et que vous ne fournissez point longue que cellecî. excepté pourtant cette, autre de provisions à mon estomac. A peine me souvient- ou, suspendu sous les aisselles, je reçus les etrivle- il de votre dernier exploit; e`est hier que vous avez res depuis le matin _jusqu’au soir. Ma foi, cette assomme et dépouillé quatre hommes. nuit-ci me parait encore plus longue. Je crois que Sos. Je crains bien de changer de nom, et de


Hzeo illeio est pugnaln pugna usque a mane ad vesperum. Credo, edopol ,equidem dormireSoIem , atque adpotum probe l Hoc udeo hoc·c0nmemini magis, quia îllo die inprausus lui. Mira sont, nisi iuvitavit sese in cœna plusculum. ` Sad prmlium id tandem dlremil. nox intervenlu suo. lllerc. Ain’ vero, verbero? deus esse lui slmileis putes? Postridie in castra ex urbe ad nos veniuut (lentes principes; I·`.,·zo pol te istis luis pro riiotis et nialelactis, Iureiïer, Velntis manibus orant ignoscamus peccatum suum; Adcipiam; modo sis, veni huc, invenies intortnninm. Dedunlque se, divina humanaque munie , urbem et liberos, Sos. Ubi sun! isti scortatores, qui soli invili cubaut? In dilionem atque in arbitralum eoncli Thebano poplo. Hœc nox scita’st exereendo seorto conducto male. Post nb virtutem hero Amphitruoni pntera donata aurea’st, New. Meus pater nunc pro hujus verbis recte et sapienldr Qui Pterela potitarc rex solittfst : hœc sie dicam herœ. facil, Nuncpergam herlimperiumexsequiet me domum capessere· Qui eomplexus com Alcumena cubat amans, anime ohm- Men:. Atat; lllic huc iIuru’sI! ibo ego illi obviam. quens. rreqne ego mme hominem hodie ad œdeis has sinam uuqunm sm. nm, nr hem; quad ;mp€m,—;g_ Arwmcnœ ,,,,,,;;em_ adwlëlîè- Sed quis hic est homo, quem ante mdeis video hoc noctis? Quando imagzfst hujns in me, cerIum`st homlnem eludere. mm pmœp EI enim vero, quoniam formum eepi huius in me etstatum; M _ N H _ ph t. I î [_ Decet et facta moresque hujus habere me simlleis Item. "ïem lteïtes on me mu cms aqua’ S"’ Qnem? n lm ` It ·l esse I t,callld , ·tutum ad ncdum, I ‘ . tî.‘l.î‘.î ·’ï.‘î.L"?.lI>"£.. .ii§2‘î".2§·n., . l’.fï‘llîî. ...l·.....’ ,;}g,¤=;g~g,g¤;g,ç,·;¤¤,gç_gg,ggg¤·rg <;;·~;;~;· __ d Sedquidillueest?eœIumadspectat;observnhoquam rem agat. Firmîum ’ et ’ " ’ "·°· P""’ '"l·“ So:. Corte edepol scio, si aliud quidquam’st quod eredam cem advmqgmcm me hb hospmn puma adœpmms I aut oerto sclnrn \ _ ’ _ È l ¤ *5 · Credo ego hac noctd Noclurnum obrl nrmivisse ebrium. , ’;l;°fl° mlëîflmrs mf mmc IÉ"°I>lÉ*`€‘* (lllfûd me müllîhêfüâ Mm mque se Supmmmoms quoqunm m mm c0,,mm,,,m_ lient pt vi,.llarem, bie poems faeiet Iinrlie ul tlnrmiam. Nm-que se Luna quoqnam mutat atque uti exorta est sexuel . 0l"l“( ° llllml · °bsf‘C"°— l“`Éle· Cllmnluî et ‘Il"lm_"elld¤* PSI! Nec Jugulze, neque Vesperugo, nt-que Vergiliœ oceiount. M*"’î· (“’"""”"·l (-·l“‘* MI Olsllm labulûbûri hw üüîüüllëfl Ita statim etant signa; neque nox quoqunm ooncedit die. _ °‘l““"j _ _ _ Mrrc. Perec, nox , ut obcepisti; gere pal ri morem meo. ·l£;1l¤·ll` Illaëlü müfllllll U1 ¤1îl,lC•1‘€m îû SEM Cùnolplet metum, ()ptun¤·· optumo optumam operam das ; dalrun pulchre Ioeas (AM v0¢‘¢·) Sur. Neque ego hat: nocle Inngiorem me vldisse censeo, Agne pugni : jan: diu’st , quod ventrl vlctum non dalis : Nisi item unam, verberntus qunm pcpendi perpetem. Jlun pridvni vidutur Iactum, heri quod liomines quatuor Earn qnoque, edepol, etiuxn uuulto lune vlclt Iongitudiue. In soporem conlocnstis nudes; Sva. Formido male