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Page:TheatreLatin1.djvu/99

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72 PLAUTE. SCÈNE [V = Iléq. Qu’on éloigne de moi cet homme. Ans. Con1me11t, maraud, tu dis que je suis en- ILÉGION, TYNDARE , ARISTOPHONTE. ragé, que fai poursuivi mon père à coups de pique, Hég. Comment cet homme n’est-il plus au logis? îtqïg ïuîlfs îlîîl: drm mal d°"l le v¤··=S¤¤·~¤m" où le chercher maintenant? Hé îl nl? fam 3]: ml M ` b, d . · . . I . I I ' ' | 5 Tyn. Ah! pour le coup, c’estfa1tde moi! Pauvre mahâlgs uém en mlacham ;>m_’e3l: il U En 9 Tyndare, Penuemi vient sur toi. Que dire? Que Tà R lâ) E ide cum un remède Sh y a. . . . . . . . . l ‘ r 1 . vaisqe leur conter? Que dois-Je mer? Que dois-ie Aïis Commm, vous Gem ez, E n . . · . 1 . l ’ . avouer? La sttuation est fort embarrassaute : le Hé Quqm ce UE .6 Crois?) moyrn de 1n‘en tirer! Maudit Aristophonte, les Arg`; Que .C $35 fôlu , ' Dieux auraient dû t’ôterla vie,plu|;ôt que de Venle- T n 'V0 ai vo _cZ cèmmeü a 8 ren"] f . ' ver a ta patr1e:c’esI; toi qui viens, par ta presence le mgwï gt ée you; retirer Hack"? ce lmwl · . 1 . . · . , 1 malenoontreuse, renverser tous nos proiets. Tout vous a. dit arme ,aœèS mi re °d P; que $9 , . . .· , 1 · I . est gâte, SI Je ne trouve quelque merveilleux expo- à vous ‘ P H mel ga" 8 tlient. . ' , . . ,. . , . . . . . . . r . 1 1I 1 l’ neg. (tt Arzstophonte.) Su1s·me1 : voila ton uzegogsaà S ‘;‘m"é“T‘l"d r';" “' "‘* · ‘l"S ‘"“°"i homme; aborde—le et parle-lui. q T, n H 0 gue new af . S ,t , · . · · . I Yyn. (apa1·t;Est·il mortel plus malheureux que ·/ U . q ue Ol. IU qu H SO" pmpm moi, _ nom et ne saurait pas dire qui 1] est. ' . · · , È . I L i ' i. Ans. (az Tyndm·e.)Eh quoi! 1`yndare,tu sembles IMM dajîif wï;8 lim .5 t t . , . . . , . . .... 1 eviter ma vue! Pourquoi cet air de mepris, comme mi;/O 853;] A C néon gmâerîîn Wea? NO F pour . . . . . . . . . I 1 . ' . si fetzus un mconuu pour toi! Je SUIS, 1l est vrzu, a A ._rC ’ [ d ud st gu tl ) d ,. esclave ainsi que tei; avec cette difference pourtant . .C’;_‘°;1, ""‘§‘ïhl’°" V ·8 I; °‘"‘ ‘".‘;"S É"' ‘"‘ . .,, r . . . i . . . que dans ma patrie, _| etats libre, et que ÈOI tu étais lm . U pm . qucje n (mmm. pas . esclave dès penfanœ Ileg. Il est clair que tu ne le connais pas, puis- ° . 'I ' ’ · - · · · · - l ' l 1 ·. Il ne,. ier Pollux, ,8 nc m·eeme pas sur eviteet que *11* aw es T>¤1¥=~·=. ut gu dj fh loges T , ~ · · · · · l 1 1* 1 - se derobe il tes regards, ou si meme 1l te fmt, puis- ne œcotmims lm? ce Ut qm CS Hlm 0 ’ 8 U ml H que tu donnes à Philocrate le nom de Tyndare. mî; qe uffquê H y es ïasf _ , i . . . Tyn. Héqion, cet homme passe en Élide pour , ns' qu ,m; con r‘mç’.c est L? qui Souïçnt , · . . . , | enruge. N’alIez pas preter l’0re1|le aux contes qu’1I etrâce qïàfn BS. pas? qu lzlïpc qui GS} en E ÈL pourra vous faire;on l’a vu chez lui poursuivre une d ' vïagmn ’ ces mm ml qu en Cmlm pique à la main son père et sa mère. Il est atteint B3", erâiifîü . I 90mm' . . . . . · . , . _ || I de ce vilam mulqui obhge ceux qui en sont temoins , çw É 3 et l°"w°'°'F°· cî "È mm ÉPÉS le · · · · , · I 1 , . 1 · ri cracher tro¤sf01s(2).Je vous conseille de vous eloi- zcrliî ;g";‘;?e 8 ;‘;':_;°;";;Él:;l l;,;e“""t °°"v °“°“ · - r 1 r ., · 1 . gner de lui. ’ . ’. · Tyn. He b1en? (il V. le Retour imprévu de Regnard. (2) Ilccctte supcrstitleuse pour se prémunir contre Yépllcpsle et [I) Oreste, Alcméon Els d'Amphla·1·Aus et d`ErypIiilc, Lycurgue, rol uoulngcr lc malade. de Thrace devinrent furieux. SCENA ABTA_ Arist. Ain’, vnrbero, 545 Me rabiosumr atque tnscctatum esse hastis meum memoras 9 HECICL TYNDÀRUà ÀRISTOPHONTES- Et etîrllrmnorbum mihi esse, ut qui me opus sit insputariui-7 Ileg. ne verore; multos isle morbus hommes Iïlàœtàt, Hey. Que illum nunc homincm proripuisse forns se dicam ex Qülltu-*5 p\1î¤rî Sàluli fuvil, alfiue iîs pr¤fuil· œdibus? Ami- Quid lu autom, etiam huic credis? Hey, Quid ogg cm. 1'yrtd. Nuno enim vero ego obcidi; eunl. ad te hosteis, Tyn- d11¤1'hui¢? Amt. Insanum essc me? neo d,,,.B_ Quid ioqumyp Tyncl. V1den’tu huuc, quam inimico voltu intuetur? concedi Quid fnliulubor? quid negaho? aut quid Iatebor? milii H °Plumum’st. Bes omnis ineerlo siufst, quid rehus confldam meis. cgio tit quod tihi ego dixi; vliscll, rabies : cave tilil. mmm te Di prius perdereut , qunm perüsti e patrie tua, H¤¢s7· éredîdî €¤=><= ivsauum exttemvlv. uhl le adpvllavit Tyn- Aristopliontes, qui ex param re inparatam omnem (unis. 5:11 durum. Ohcisa est hœo res, nisl repcrlo atrocem mihi aliquam asm- ' Tywh Quln suum ipse interdum ignorait nomeu, neque seu tiam. qui siet. mg. (ad A·rislopl101:tvmiSequere : hem tihi homiuem (fun- 11eg. At etiam te suum sodalem esse aibat. Tynd. Hand vidi darum demwuslmt) ,' adi, atque adloquere. Tynd. Quig ¤1¤glS· 655 llûmûsbl nie hominum miserior? Et quidem Almmno atque Orestes et Lycurggus postea Avis:. Quid istuc est, quod mecs te dicrun fugitare oculos, ` Una opera mlhisuutsodelris, que iste. Ar. AI ellam, furcîfer, Tyndare? Mule mi Ioqui uudes? non e-·o te vnuvi? Hcg. Pol, plunum Proquc iguolo mc ubspernari , quasi me nunquum gnoverîs? ld quidem’st D U Equidem tam sum sert os, quam tu; eisi ego domi libcr fui, Non guovisse, qui istum adpelles Tyndarum pro Pliilocrnte. 'I`u usquc tt pttero servlliilem scrvlvisli ill Alide. 537 Quem vides, cum iguorus; illum noininns, quent nou vides. Heg, Eclcpul , miuume miror, si te fugitat, aut oculos luos, Arist. Imo iste cuni suse ait, qui non est, esse; et, qui vero Aut si tn- otlit, qui istum adpelles Tyndnrum pro Philocrate. est, negat. 661 Tynd. Hegio hic homo rnhlosos habilus est in Allde. sw Tyud. Tu enim repertus Philocratem qui supercs verivct- Nc lu, quud lstic fah11I1·lur, aurais inmiltas tuas. ` bio I , Nam istie Iiastis insectatus est domi mntrcm et putrem. Aria!. Pol, ego ut rem video, tu inventus, vera vanitudine Et îllic isti , qui sputatur, morbus interdum venit. Qui eoqvinezis. Sed quœso , hcrcle , agedum , adspice au me, I’1·oi11‘tuabisloc procul recedas. Hey. Ultm istum a me. 1 Tyud. Hem. Aria!. Die modo ,