Après tout ce qui a été dit, dans les pages qui précèdent, sur Jean Marot et sur ses œuvres, quelques détails purement bibliographiques sont encore nécessaires pour achever de bien faire connaître notre vieux poète. Ces détails ont ici leur place naturellement marquée ; ils compléteront utilement, je crois, l’étude qu’on vient de lire.
J’ai dit (1) que, « sauf une édition sans date de La vray-disante aclvocate des dames, les écrits de Jean Marot n’ont été imprimés qu’après sa mort ; et encore pas tous » Voici diverses éditions énumérées, avec leurs titres, d’après M. Brunet, dans son Manuel du libraire, aux noms de Marot Jean et de Marot Clément (2) :
(1) Ci-dessus, p. 77, note 2. — Voir aussi p. 93 et p. 129. (2) 11 faut y joindre, bien entendu, rédilion sans lieu ni date de La vray-disante aclvocate des dames, iii-8" de 16 feuillets, en caractères gothiques, que M. Brunet mentiorme tout à fait à part,