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Page:Theuriet - Gertrude et Véronique, 1888, 4e mille.djvu/223

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la verrerie des Bas-Bruaux et marié sa sœur Reine avec un jeune gentilhomme verrier qui est devenu son associé. Quant à lui, il se trouve trop vieux pour tenter la grande aventure du mariage, et il reste garçon. Lorsqu’on le pousse sur ce chapitre, il se contente de siffler entre ses dents, et il ajoute malicieusement, en regardant d’un air narquois sa sœur Honorine qui tient son ménage :

— Que voulez-vous,… ma sœur et moi nous avons la vocation du célibat.


Avril-mai 1870.