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Page:Theuriet - Gertrude et Véronique, 1888, 4e mille.djvu/29

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Gertrude le regarda fixement et répondit d’une voix brève :

— Cousin Gaspard, je suis fille de verrier, moi aussi, et j’ai de la rancune… Bonsoir.

Gaspard demeurait ébahi. Elle passa rapidement devant lui pour aller rejoindre ses cousines, puis elle s’approcha de Xavier et murmura, tout en lui souhaitant le bonsoir :

— J’ai besoin de te parler ; sois demain de bonne heure à ton atelier.