Page:Tiercelin - Bretons de lettres, 1905.djvu/4

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Ô revenez, mes joyeuses chimères !
Oiseaux dorés, célestes passagers,
Tendez vers moi vos ailes éphémères ;
Venez bercer mes tristesses amères
             De chants légers !


                        C. Leconte de Lisle